
"Réduire nos déficits, c’est tout le sens du plan d’économies", souligne Manuel Valls, Premier ministre français, devant l'Assemblé parlementaire (photo ministère)
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FRANCE. L'Assemblée nationale adopte le programme de stabilité budgétaire à une courte majorité (265 pour, 232 contre et 67 abstentions). Un vote purement consultatif mais d'une grande importance politique.
François Hollande annonçait, en janvier 2014, la mise en place d'un "plan de redressement des finances" du pays, en plus des 15 mrds€ d'économies prévues sur l'année 2014.
Le programme adopté, ce mercredi 30 avril 2014, prévoit 50 mrds€ d'économies durant la période 2015-2017, 11 mrds€ du côté des collectivités territoriales (grâce notamment à la réforme territoriale), 18 mrds€ du côté de l'État, 10 mrds€ pour les dépenses de santé et 11 mrds€ du côté de la protection sociale. Ce plan devrait permettre de réduire le déficit public à 3% du PIB en 2015 (contre 4,3% en 2013)..
En contrepartie, le RSA (Revenu de solidarité active) sera notamment valorisé de 10% en cinq ans dès le 1er septembre 2014. Par ailleurs, "30 000 postes seront créés dans l’Éducation nationale d’ici 2017 pour atteindre 60 000 postes supplémentaires en cinq ans", souligne le Premier ministre,
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François Hollande annonçait, en janvier 2014, la mise en place d'un "plan de redressement des finances" du pays, en plus des 15 mrds€ d'économies prévues sur l'année 2014.
Le programme adopté, ce mercredi 30 avril 2014, prévoit 50 mrds€ d'économies durant la période 2015-2017, 11 mrds€ du côté des collectivités territoriales (grâce notamment à la réforme territoriale), 18 mrds€ du côté de l'État, 10 mrds€ pour les dépenses de santé et 11 mrds€ du côté de la protection sociale. Ce plan devrait permettre de réduire le déficit public à 3% du PIB en 2015 (contre 4,3% en 2013)..
En contrepartie, le RSA (Revenu de solidarité active) sera notamment valorisé de 10% en cinq ans dès le 1er septembre 2014. Par ailleurs, "30 000 postes seront créés dans l’Éducation nationale d’ici 2017 pour atteindre 60 000 postes supplémentaires en cinq ans", souligne le Premier ministre,
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