Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
-
Le champ gazier chypriote Aphrodite obtient des financements pour son premier forage

La future entreprise fabriquera notamment des équipements de forage et de production (photo Sonatrach)
ALGÉRIE / USA. La Sonatrach et General Electric (GE) ont signé, jeudi 29 janvier 2015 à Alger, un protocole d’entente pour créer une société conjointe de fabrication d’équipements pétrolier et gazier.
Le groupe pétrolier public algérien détiendra 51% des parts de la nouvelle société par actions contre 49% pour le groupe privé américain.
La future entreprise fabriquera des équipements de forage et de production, des solutions de performance des puits et des solutions technologiques de l’aval, des équipements de contrôle… Elle assurera également des prestations de service et des formations dans le domaine des hydrocarbures.
Son personnel sera majoritairement algérien, mais comptera également sur l’apport d’experts de GE.
La chute des prix du pétrole qui se négocient aux alentours de 45$ le baril pousse les autorités algériennes à "acquérir la technologie nécessaire" selon les propos du ministre algérien de l’Energie, Youcef Yousfi.
L’Algérie tire plus de 95% de ses recettes extérieures de la vente d’hydrocarbures et de produits dérivés qui contribuent à hauteur de 60% au budget de l’Etat.
Le groupe pétrolier public algérien détiendra 51% des parts de la nouvelle société par actions contre 49% pour le groupe privé américain.
La future entreprise fabriquera des équipements de forage et de production, des solutions de performance des puits et des solutions technologiques de l’aval, des équipements de contrôle… Elle assurera également des prestations de service et des formations dans le domaine des hydrocarbures.
Son personnel sera majoritairement algérien, mais comptera également sur l’apport d’experts de GE.
La chute des prix du pétrole qui se négocient aux alentours de 45$ le baril pousse les autorités algériennes à "acquérir la technologie nécessaire" selon les propos du ministre algérien de l’Energie, Youcef Yousfi.
L’Algérie tire plus de 95% de ses recettes extérieures de la vente d’hydrocarbures et de produits dérivés qui contribuent à hauteur de 60% au budget de l’Etat.