
Jean Herold, responsable syndical CGT et les salariés d' AMO 13 bloquent le port depuis le 15 octobre 2010. (Photo N.B.C)
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FRANCE. Quelques soixante agents du gardiennage, employés par la société AMO 13, sont en grève depuis le 15 octobre 2010 et bloquent les accès du port de Marseille.
Ces employés appartenant à une entreprise extérieure demandent leur intégration au sein duGrand port maritime de Marseille avec les avantages qui en découlent. « Dans la loi sur la réforme des ports il est prévu que les ports aient une mission de sûreté et assure la police du port. Nous revendiquons l’internationalisation de ces tâches. Nous demandons à être reçu par le président du directoire et tant que nous n’aurons pas obtenu satisfaction nous bloquerons les portes 2C et 4 », explique Jean Herold, responsable syndical CGT chez AMO 13 et responsable d’exploitation.
Ces employés appartenant à une entreprise extérieure demandent leur intégration au sein duGrand port maritime de Marseille avec les avantages qui en découlent. « Dans la loi sur la réforme des ports il est prévu que les ports aient une mission de sûreté et assure la police du port. Nous revendiquons l’internationalisation de ces tâches. Nous demandons à être reçu par le président du directoire et tant que nous n’aurons pas obtenu satisfaction nous bloquerons les portes 2C et 4 », explique Jean Herold, responsable syndical CGT chez AMO 13 et responsable d’exploitation.
A Fos, la société de gardiennage, Neos Securite, n’était pas en grève.
Après les agents, les marins, les dockers, ce nouveau mouvement social passe presque inaperçu, le port ayant été déserté par les compagnies maritimes, les chargeurs et, de fait, par les transporteurs.
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