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TUNISIE. Selon l'antenne tunisienne de l'ONG américaine Institut Républicain international (IRI), 85% des Tunisiens décrivent la situation économique comme étant "mauvaise" (38%) ou "très mauvaise" (47%). Ce sondage a été réalisé en arabe par la société tunisienne Elka Consulting pour le compte d'IRI et auprès d'un échantillon représentatif de 1 222 Tunisiens âgés de dix-huit ans et plus.
Le chômage arrive en tête des problèmes rencontrés par la Tunisie dans son ensemble (38%) devant la crise économique et financière (32%), le terrorisme (11%) et la corruption (7%). D'ailleurs, le sondage montre que l'emploi devrait être la priorité du nouveau gouvernement à 32% (66% pour l'emploi pour la jeunesse).
Sur le plan personnel, ce sont les problèmes économiques (42%), les problèmes d'infrastructures (20%), les problèmes environnementaux (17%) et la corruption (7%) qui inquiètent le plus les Tunisiens.
Le chômage arrive en tête des problèmes rencontrés par la Tunisie dans son ensemble (38%) devant la crise économique et financière (32%), le terrorisme (11%) et la corruption (7%). D'ailleurs, le sondage montre que l'emploi devrait être la priorité du nouveau gouvernement à 32% (66% pour l'emploi pour la jeunesse).
Sur le plan personnel, ce sont les problèmes économiques (42%), les problèmes d'infrastructures (20%), les problèmes environnementaux (17%) et la corruption (7%) qui inquiètent le plus les Tunisiens.
65% des Tunisiens ont été victimes de la corruption
L'enquête montre également que 78% des interrogés estiment que le niveau de corruption se trouve aujourd'hui supérieur à ce qu'il était avant la révolution de 2011, donc sous le règne du président Ben Ali. 20% affirment avoir été victimes de corruption la semaine précédent le sondage. Seuls 35% disent ne jamais avoir été confronté à la corruption.
Les Tunisiens sont 38% à estimer que "pour fournir plus de ressources pour le gouvernement" il faudrait agir sur la réduction de la corruption. C'est le premier poste qui arrive sur cette question devançant la promotion des petites entreprises (25%) et la réduction des gaspillages et dépenses inutiles du gouvernement (10%). Le combat contre la corruption est également le premier cité sur la "façon d'améliorer l'économie" par 87% des sondés. Juste devant une réforme de la politique foncière pour valoriser les terres arables non utilisées.
Si 48% préfèrent la démocratie à tout autre forme de gouvernement, ils sont cependant 50% à déclarer la prospérité "définitivement plus importante".
Voir le sondage
Les Tunisiens sont 38% à estimer que "pour fournir plus de ressources pour le gouvernement" il faudrait agir sur la réduction de la corruption. C'est le premier poste qui arrive sur cette question devançant la promotion des petites entreprises (25%) et la réduction des gaspillages et dépenses inutiles du gouvernement (10%). Le combat contre la corruption est également le premier cité sur la "façon d'améliorer l'économie" par 87% des sondés. Juste devant une réforme de la politique foncière pour valoriser les terres arables non utilisées.
Si 48% préfèrent la démocratie à tout autre forme de gouvernement, ils sont cependant 50% à déclarer la prospérité "définitivement plus importante".
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