
Le réseau ferroviaire syrien, à échéance 2020. (Photo DR SRG)
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SYRIE. Le directeur général de la Syrian Railways General a annoncé que la Syrie allait débloquer un budget de 1mds$ (763,35M€) pour rénover son réseau ferroviaire et construire de nouvelles lignes, d'ici 2020.
C'est la revue économique Meed qui fait état de cette annonce par Georges Mokabari, le patron du ferroviaire syrien.
Le budget de 763 M€ permettra à la Syrie de rénover ses 1450km de voies ferrées existantes mais aussi de construire huit nouvelles voies supplémentaires, sur une distance de 1350km.
Une partie du réseau ferré syrien a été construite au début du XXe siècle tandis qu'une autre date des années 1960-80.
Le projet, s'il va à son terme, portera le réseau ferroviaire à quelque 3845km de voies à échéance 2020 et permettra un trafic passager d'environ 5,3 millions annuel, au lieu des 2,258 millions prévus en 2010.
C'est la revue économique Meed qui fait état de cette annonce par Georges Mokabari, le patron du ferroviaire syrien.
Le budget de 763 M€ permettra à la Syrie de rénover ses 1450km de voies ferrées existantes mais aussi de construire huit nouvelles voies supplémentaires, sur une distance de 1350km.
Une partie du réseau ferré syrien a été construite au début du XXe siècle tandis qu'une autre date des années 1960-80.
Le projet, s'il va à son terme, portera le réseau ferroviaire à quelque 3845km de voies à échéance 2020 et permettra un trafic passager d'environ 5,3 millions annuel, au lieu des 2,258 millions prévus en 2010.
Certaines portions sont en cours de construction, mais d'autres sont encore soumises à des appels d'offre.
Selon Meed, si ce projet arrive à son terme, le commerce devrait être facilité dans la région, via le transport sur rail des marchandises. La Syrie pourrait ainsi devenir une plaque tournante du commerce entre les pays du Golfe et la Jordanie, vers la Turquie, puis l'Europe, et vice-versa.
Selon Meed, si ce projet arrive à son terme, le commerce devrait être facilité dans la région, via le transport sur rail des marchandises. La Syrie pourrait ainsi devenir une plaque tournante du commerce entre les pays du Golfe et la Jordanie, vers la Turquie, puis l'Europe, et vice-versa.