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FRANCE. Une "course contre la montre". Ce sont les termes employés par le gouvernement français pour faire part de l'"urgence" de la "reconquête industrielle de la France". Il dévoile, le 12 septembre 2013, trente quatre plans innovants pour bâtir "la nouvelle France industrielle".
Arguant que l'avenir industrielle ne sera pas saboté par le développement des services, le président François Hollande souligne, au côté du ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg, l'importance de ce secteur et dessine les contours de leurs ambitions.
Le programme se compose de trois axes principaux : la transition énergétique et environnementale, le numérique et la santé autour de projets innovants. Parmi eux, la "voiture sans chauffeur," ou encore le futur TGV d'Alstom qui pourrait transporter "20% de plus de passagers en consommant 20% de moins d'énergie".
La mise en œuvre des projets sera confiée à des chefs d'entreprises "de grands groupes, de PME et aussi de start-up", souligne le ministre du Redressement productif. Ce dernier appelle "toutes les entreprises, les instituts de recherche à participer à ce projet collaboratif".
Le gouvernement espère ainsi que la France retrouve "une place majeure dans les grands pays industriels à horizon de dix ans". Ce plan pourrait permettre d'augmenter la part de l'industrie dans le PIB et de créer près de 480 000 emplois, selon le cabinet McKinsey.
Le programme se compose de trois axes principaux : la transition énergétique et environnementale, le numérique et la santé autour de projets innovants. Parmi eux, la "voiture sans chauffeur," ou encore le futur TGV d'Alstom qui pourrait transporter "20% de plus de passagers en consommant 20% de moins d'énergie".
La mise en œuvre des projets sera confiée à des chefs d'entreprises "de grands groupes, de PME et aussi de start-up", souligne le ministre du Redressement productif. Ce dernier appelle "toutes les entreprises, les instituts de recherche à participer à ce projet collaboratif".
Le gouvernement espère ainsi que la France retrouve "une place majeure dans les grands pays industriels à horizon de dix ans". Ce plan pourrait permettre d'augmenter la part de l'industrie dans le PIB et de créer près de 480 000 emplois, selon le cabinet McKinsey.
Au total, 3,7 mrds€ d'argent public pourraient être consacrés aux plans, avec une part d'investissement privé.
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