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La SNCF décompte 310 M€ de perte à cause des grèves. (photo : BL)
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FRANCE. La grève des cheminots qui dure, en France, depuis le moins de mars 2016 a fait perdre 310 M€ à la SNCF. Dans un communiqué publié mercredi 22 juin 2016, la société décompte au total vingt trois jours de grève entre le 9 mars et le 15 juin 2016.
L’impact sur le chiffre d’affaires se monte à 250 M€ pour SNCF Mobilités (transport des voyageurs et des marchandises) et à 60 M€ pour SNCF Réseau (gestion, exploitation et développement du réseau). Plus exactement, la première branche, Mobilités a vu ses revenus diminuer de 190 M€, les 20 M€ restants, étant du aux pénalités appliquées par les Régions et aux remboursements des usagers.
« Il s’agit d’un montant absolument énorme, qui va peser sur la capacité de la SNCF à investir et sur ses résultats » affirme Guillaume Pepy, PDG de la SNCF.
Ces pertes risquent cependant d’augmenter, car une nouvelle journée de manifestation est prévue jeudi 23 juin 2016. De plus, le montant définitif des pénalités n’est pas connu et 20 000 demandes de remboursement d’usagers n’ont pas encore été traitées par la SNCF. Les dirigeants du transporteur ferroviaire estiment ce futur coût à plusieurs dizaines de millions d’euros.
L’impact sur le chiffre d’affaires se monte à 250 M€ pour SNCF Mobilités (transport des voyageurs et des marchandises) et à 60 M€ pour SNCF Réseau (gestion, exploitation et développement du réseau). Plus exactement, la première branche, Mobilités a vu ses revenus diminuer de 190 M€, les 20 M€ restants, étant du aux pénalités appliquées par les Régions et aux remboursements des usagers.
« Il s’agit d’un montant absolument énorme, qui va peser sur la capacité de la SNCF à investir et sur ses résultats » affirme Guillaume Pepy, PDG de la SNCF.
Ces pertes risquent cependant d’augmenter, car une nouvelle journée de manifestation est prévue jeudi 23 juin 2016. De plus, le montant définitif des pénalités n’est pas connu et 20 000 demandes de remboursement d’usagers n’ont pas encore été traitées par la SNCF. Les dirigeants du transporteur ferroviaire estiment ce futur coût à plusieurs dizaines de millions d’euros.
