
Hélicoptère larguant des barils explosifs sur Alep (photo : OSDH)
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SYRIE. Utilisation de bombes au phosphore, de bombes à sous-munition, pourtant interdites, les quartiers ouest d'Alep croulent sous les attaques des aviations syrienne et russe. Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), les raids de ces deux derniers jours auraient causé 280 morts et 400 blessés. Dont une majorité de civils.
Le cessez-le-feu semble bel et bien oublié depuis l'attaque du convoi de l'Onu et du Croissant rouge syrien, visé par les Russes.
La France, le Royaume-Uni et les États-Unis ont élevé la voix, lundi 26 septembre 2016 au Conseil de sécurité de l'Onu, pour dénoncer des "crimes de guerre". Samantha Power, ambassadrice américaine à même lancé à New York : "ce que la Russie soutient et fait, ce n'est pas de la lutte anti-terrorisme, c'est de la barbarie."
Une offensive terrestre serait en cours de préparation, d'où le pilonnage intensif. Le gouvernement syrien et son allié russe entendent déloger d'Alep, capitale économique du pays avant le conflit, les opposants au régime.
L'OSDH indiquait, mardi 27 septembre 2016, de nouveaux bombardements dans la région d'Hama dans la ville de Zezon notamment tenue par l'opposition au régime qui gagne du terrain. Ils auraient ainsi pris la ville de Ras al-Ein.
Le cessez-le-feu semble bel et bien oublié depuis l'attaque du convoi de l'Onu et du Croissant rouge syrien, visé par les Russes.
La France, le Royaume-Uni et les États-Unis ont élevé la voix, lundi 26 septembre 2016 au Conseil de sécurité de l'Onu, pour dénoncer des "crimes de guerre". Samantha Power, ambassadrice américaine à même lancé à New York : "ce que la Russie soutient et fait, ce n'est pas de la lutte anti-terrorisme, c'est de la barbarie."
Une offensive terrestre serait en cours de préparation, d'où le pilonnage intensif. Le gouvernement syrien et son allié russe entendent déloger d'Alep, capitale économique du pays avant le conflit, les opposants au régime.
L'OSDH indiquait, mardi 27 septembre 2016, de nouveaux bombardements dans la région d'Hama dans la ville de Zezon notamment tenue par l'opposition au régime qui gagne du terrain. Ils auraient ainsi pris la ville de Ras al-Ein.