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La datte deviendraient un additif dépolluant les carburants
ALGERIE. Tirer du bioéthanol à partir des dattes. C’est l’idée d’un entrepreneur algérien dont la société est basée à Dubaï.
Il espère ouvrir début 2011 en Algérie la première unité au monde de fabrication de nakhoil, un éthanol non polluant à base de fruits de palmier. Le projet, représentant un investissement de 22 M€ commencerait par utiliser le surplus de 150 000 tonnes de dattes dont on pourrait tirer quelque 48 millions de litres d’éthanol.
Brahim Zitouni, président d’Oasis Ltd (Organisation de l’agriculture du Sahara par intégration et substitution) est persuadé que cette activité « source de revenus pour les Sahariens » viendrait s’intégrer au secteur du pétrole et du raffinage local.
Mélangé aux carburants en proportion de 2 à 5%, « le nakhoil peut, en effet, réduire de 30% les rejets de monoxyde de carbone dans l’atmosphère”. L’installation de l’unité de production s’effectuerait sur cinq hectares à Oumeche près de Biskra (425 km au sud-est d’Alger). À condition d’obtenir le feu vert des autorités algériennes.
Il espère ouvrir début 2011 en Algérie la première unité au monde de fabrication de nakhoil, un éthanol non polluant à base de fruits de palmier. Le projet, représentant un investissement de 22 M€ commencerait par utiliser le surplus de 150 000 tonnes de dattes dont on pourrait tirer quelque 48 millions de litres d’éthanol.
Brahim Zitouni, président d’Oasis Ltd (Organisation de l’agriculture du Sahara par intégration et substitution) est persuadé que cette activité « source de revenus pour les Sahariens » viendrait s’intégrer au secteur du pétrole et du raffinage local.
Mélangé aux carburants en proportion de 2 à 5%, « le nakhoil peut, en effet, réduire de 30% les rejets de monoxyde de carbone dans l’atmosphère”. L’installation de l’unité de production s’effectuerait sur cinq hectares à Oumeche près de Biskra (425 km au sud-est d’Alger). À condition d’obtenir le feu vert des autorités algériennes.