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SYRIE. Quelques 12 500 personnes ont pu quitter, jeudi 15 mars 2018, l'enclave syrienne de la Goutha orientale. Deux premiers groupes de civils (une centaine de personnes au total) avaient également pu sortir, mardi 13 mars 2018 à pied, en voiture et en moto, de cette zone pilonnée par le régime de Bachar al-Assad et son allié russe.
Signalée par l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), cette évacuation massive des villes de Hammouriyé, Kfar Batna, Jisrine et Saqba, au sud de la Ghouta orientale, a été suivie par une prise de contrôle totale de la ville d'Hammouriyé par les troupes régulières. Elle a été rendue possible après la fuite des hommes du groupe rebelle Faylaq al-Rahmane qui contrôlaient le secteur.
Selon un bilan de l'OSDH datant de mercredi 14 mars 2018, en dix-huit jours de bombardements, 715 morts auraient été recensés parmi les civils dans la ville d'Hammouriyé (Hamouriyah).
Signalée par l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), cette évacuation massive des villes de Hammouriyé, Kfar Batna, Jisrine et Saqba, au sud de la Ghouta orientale, a été suivie par une prise de contrôle totale de la ville d'Hammouriyé par les troupes régulières. Elle a été rendue possible après la fuite des hommes du groupe rebelle Faylaq al-Rahmane qui contrôlaient le secteur.
Selon un bilan de l'OSDH datant de mercredi 14 mars 2018, en dix-huit jours de bombardements, 715 morts auraient été recensés parmi les civils dans la ville d'Hammouriyé (Hamouriyah).